Manyfingers — The Spectacular Nowhere (February 5, 2015)

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Manyfingers — The Spectacular Nowhere

             ^{Manyfingers — The Spectacular Nowhere}
Location: Bristol / UK (Takhle by dnes tvořil Eugen Suchoň?)
Genre/Style: Avant, Chamber World, Experimental, Modern Classic/Composition, Organic, Post–rock/Electro
Album release: February 5, 2015
Record Label: ICI D’AILLEURS / DIFFER–ANT
Duration: 58:37
Tracks:
01. Ode to Louis Hardin 3:56
02. The Dump Pickers of Rainham 3:57
03. Erasrev 6:13
04. No Real Men 2:35
05. 70 4:42
06. Alone in My Bones 5:50
07. Go Fuck Your Mediocrity 4:33
08. It’s All Become Hysterical 6:16
09. The Spectacular Nowhere 1:16
10. From Madam Hilda Soarez 4:17
11. Le Problème de Charbon 5:42
12. Triplets 4:21
Bonus track:
13. The Neutering of Stanley 4:58
Description:
••   Ici d'ailleurs is proud to present the second instalment of the Mind Travels collection with a radical new studio album from Manyfingers — "The Spectacular Nowhere". Bristol born Chris Cole, has been with the label since 2005, having contributed on several albums notably with Matt Elliott as well as The Dark, by Third Eye Foundation, and as a member of the all–star band, Numbers Not Names, whose first opus What's The Price? was one of 2012's most striking hip–hop records. Back after an ten year hiatus, with this third album under the moniker Manyfingers, The Spectacular Nowhere is clearly the product of several years hard work — the result, an innovative and diverse album unconfined by genre. The depth and scope of the album reveals an eclectic style (more at: http://www.finestvinyl.de/de/item/80575/vinyl.20.html).
PAR DENIS. CHRONIQUES, 5 FÉVRIER 2015
•   Souvent dans l’ombre de Matt Elliott / Third Eye Foundation, Chris Cole pourrait se gausser d’avoir un curriculum vitae bien rempli entre collaborations (Movietone, Bracken, The Declining Winter, …) et nombreuses compositions sur commandes (musiques de films et surtout de documentaires pour la BBC). Mais l’homme est plutôt discret et modeste. Même quand il s’agit de son propre projet musical, Manyfingers, qu’il avait mis en sommeil pendant une éternité : un album en 2004 (Manyfingers — Moteer), un autre en 2005 (Our Worn Shadow — Acuarela), puis le silence jusqu’à un EP, sorti sur Ici d’Ailleurs, en 2012.
•   Aujourd’hui, le Britannique revient avec un copieux album qui marque un net tournant dans la conduite du projet. Jusqu’alors Manyfingers se définissait comme un « one–man band » et si le terme n’est pas aussi connoté, on dirait que Chris Cole est un prodigieux homme–orchestre. Passant d’un instrument à l’autre, l’auteur–compositeur les interprète seul, lançant une rythmique à la batterie (où il excelle) ou au piano, se samplant et interprétant ensuite de la guitare, du hautbois, du cor, de la basse, du violoncelle, etc.. Sur le DVD qui accompagnait son deuxième album, on voyait ainsi le musicien jouer l’album dans les conditions du live : exercice bluffant et fascinant, tant la musique de Chris Cole est d’une incroyable richesse instrumentale. •   Pour The Spectacular Nowhere, il a cette fois–ci invité quelques amis a participé à ses compositions orchestrales (comme en atteste le tracklisting commenté ci–dessous). Mais pour autant, Chris Cole est seul maître à bord.
•   Alors, même si l’apport du chant scandé de l’ancien Moonshake (David Callahan), des chœurs distanciés d’Ida Alfstad, de la touche de violon de Chapelier Fou ou des apparitions bien plus fréquentes de Peter Hollo (Fourplay), permettent de donner un peu plus d’ampleur encore, c’est surtout le talent de Chris Cole qui saisit. D’ailleurs, les « chansons » qu’il interprète seuls sont probablement les plus intransigeantes, les plus marquantes, comme Alone in My Bones, It’s All Become Hysterical ou encore Erasrev sur lesquels son chant incroyablement rythmique fait des merveilles. Alors, oui, en tant que musicien surdoué, il a très certainement forcé la dose sur les cuivres (et le cor ?) cette fois–ci, mais The Spectacular Nowhere est une œuvre ambitieuse. Et unique.
REVIEW
PAR DENIS, NEWS, 15 JANVIER 2015
CHRIS COLE REVIENT (ENFIN) AVEC UN NOUVEL ALBUM DE MANYFINGERS
•   A l’heure des annonces de sorties inattendues pour l’exercice 2015, en voilà une qui suscite le même enthousiasme que le retour de The White Birch.
•   L’impeccable label nancéien Ici d’Ailleurs doit publier dès mars le prochain album de Manyfingers, dont on était resté sans nouvelle depuis 2012 et les deux titres parus sur un split 12″ partagé avec son ami Matt Elliott.
•   Chris Cole, qu’on tient pour être l’un des musiciens les plus précieux de sa génération, va donc enfin donner suite à Our Worm Shadow, paru il y a déjà dix ans. •   Le natif de Bristol qu’on a croisé dans la passé au chevet des albums de The Declining Winter, Piano Magic, Third Eye Foundation, Movietone, Bracken devrait ainsi suspendre un temps ses activités de compositeur de musiques de films, un exercice de style dont il a fait son gagne–pain.
•   The Spectacular Nowhere devrait de nouveau faire la synthèse des inspirations néo–classique de ce musicien touche à tout et homme–orchestre de génie (on vous conseille de visionner le DVD qui accompagnait son deuxième album pour comprendre) et ses appétences plus expérimentales. Il est aussi dit qu’on retrouvera des influences plus pop faisant « écho à Hood et Portishead ».
•   On trépigne donc de pouvoir écouter cet album qui devrait comprendre une collaboration avec le revenant David Callahan, autrefois impliqué dans Moonshake et The Wolfhounds. :: http://www.sunburnsout.com/
REVIEW
Redactor Luis J. Menéndez
•   Fecha de publicación jueves, 12 de febrero de 2015
•   Que Chris Cole era un tipo escurridizo fue algo que supimos en cuanto le vimos esconderse bajo una visera en sus primeros tours por España junto a Matt Elliott/Third Eye Foundation, allá por el cambio de milenio. Aunque la confirmación llegó un tiempo después, cuando tras publicar el hermosísimo “Our Worn Shadow” (2006) — uno de los grandes discos que nos dejó la moda del Loop Station — desapareció sin dejar rastro durante una buena temporada. Hasta que hace un par de años entregó para el Día del Disco un EP conjunto con (cómo no) Matt Elliott, al tiempo que unía fuerzas con gente de Dälek, Kill The Vultures y The Married Monk en el combo de rap industrial Numbers Not Names. Así las cosas, el definitivo retorno de su alias Manyfingers es una gran noticia para una pequeña pero ferviente parroquia de fans.
•   Los años, por supuesto, se notan también en la tonalidad de un álbum igualmente crepuscular pero en el que se amplía la paleta de colores. Basta con echarle una oreja a esa furiosa introducción orquestal titulada “Ode to Louis Thomas Hardin” en homenaje a Moondog para comprender que, si bien el minimalismo y la repetición sigue guiando los pasos de nuestro hombre, los ejercicios de capas superpuestas definitivamente son cosa del pasado. Otra de las grandes novedades es la aparición de la voz. Como también ocurrió en su día con Matt Elliott, Chris Cole ha pasado de hacer instrumentales estrictos a animarse a tararear en algún tema de “Our Worn Shadow” y, finalmente, convertirse en intérprete de aproximadamente la mitad de las canciones de este disco. Sin presentarse como un cantante especialmente dotado, Cole demuestra haber asimilado bien las enseñanzas de Ian Crause, Jhonn Balance (“It’s All Hysterical” es puro Coil) o David Callahan de Moonshake, uno de sus héroes confesos — como demuestra ese homenaje hecho canción que es “70” — y al que invita a hacer una pequeña colaboración en el disco.
•   Pero más allá de las similitudes expresivas entre unas voces de rango bastante limitado, que salgan a colación esos nombres no puede ser una simple casualidad. Manyfingers se convierte en heredero de una tradición en la que avant–garde, clasicismo y música popular hacen una suerte de juego de las sillas y en cada turno (canción) nunca sabes a quién le tocará quedarse de pie. Era una de las características de aquella primera generación a la que Simon Reynolds bautizó post–rock — nada que ver con aquello en lo que luego derivaría el término–y de la que con este trabajo Cole se convierte en heredero directo y de pleno derecho. :: http://mondosonoro.com/
Facebook: https://www.facebook.com/manyfingers
BIO
•   Chris Cole has been writing scores for short films and documentaries for the last 7 years.
•   During this time his commissions include the Channel 4 documentary Bear Grylls: Mission Everest, which follows the Born Survivor star's attempt to be the first person to fly over Mount Everest using only a paramotor, the BBC2 series On Thin Ice, documenting T.V presenter Ben Fogle and Olympic Gold medallist James Cracknell's race to the South Pole, and BBC1 program Sue Johnson's Shangri La, which documents the T.V star's spiritual journey through China and Tibet in search of her lifelong dream — the lost, fantasy world of Shangri La.
•   As a musician Cole has released 2 solo albums under the moniker Manyfingers and has collaborated on over 15 albums with bands including Movietone and The Third Eye Foundation (Domino Records — Arctic Monkeys, Franz Ferdinand) over the past 10 years.
•   All audio and video content on this site depicts examples of work not the entire back catalogue. Full information on all projects can by found in the C.V section.
•   Chris Cole aka Manyfingers multi instrumentiste talentueux, propose une musique aux frontières des genres entre post–rock, folk, electronica, musique de film ou néo–classique, alliant l’acoustique à une approche électronique toujours subtile et ouvragée : une mélodie de piano, en boucle, puis des balais de batterie, eux–aussi mis en boucle, puis une voix, mise en boucle, et ainsi de suite. Une nouvelle partie de batterie, des cymbales, du piano, des cordes, des trompettes, etc. Les couches s’empilent et néanmoins permettent des variations de structure et de mélodie, comme chez FourTet par exemple, avec ces mêmes tempos chaloupés.
Website: http://chriscolesoundtracks.com/
C V: http://chriscolesoundtracks.com/chris_cole_cv.pdf
YouTube: https://www.youtube.com/watch?v=i-FjcMDQMM4
Label: http://www.icidailleurs.com/
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